Caracas, 18 juin, (RHC).- Des autorités de l'État vénézuélien de Tachira ont condamné les violences encouragées par la droite.

La Secrétaire Générale du Gouvernement, Miriam Febres, a dénoncé la participation à cette croisade anti-gouvernementale de médias.

Elle a mis en exemple ce qui s'est passé dans la localité Troncal cinco, l'un des foyers des violences. Elle a raconté que des médias y sont arrivés, ont fermé des commerces et des négoces, pour montrer une situation de danger, de pillage. Elle a expliqué que la droite se sert, pour ses plans, de la conjoncture économique que traverse le pays comme conséquence de la baisse du prix du pétrole et de la guerre non conventionnelle contre le gouvernement.

La veille, le premier vice président du Parti Socialiste Unifié du Venezuela, Diosdado Cabello, a lancé un appel à renforcer l'unité populaire pour affronter les violences.