Inés María Chpaman, presidió reunión de la UNEAC
La Havane, 5 sept (RHC) Inés María Chapman Waugh, vice- première ministre de la République, a présidé la deuxième journée de la réunion de la présidence de l'Union des Écrivains et Artistes de Cuba (Uneac), au cours de laquelle des dialogues fructueux ont prévalu, en prélude au 10ème Congrès de l'organisation.
Les exécutifs provinciaux évaluent jusqu'à ce vendredi, au siège de l'Uneac, les propositions et les accords issus du 9e Congrès, tels que le travail communautaire, le lien entre la culture et le tourisme, l'éducation artistique, le développement de la musique et des arts plastiques, parmi d'autres.
Mercredi, en présence d'Alpidio Alonso Grau, ministre de la Culture, et de Marta Bonet, présidente de l'Uneac, ils ont également discuté des questions soulevées par les écrivains et les artistes, ainsi que des actions proposées pour arriver au 10e congrès en novembre avec des réponses concrètes pour les délégués et les membres.
À partir du IXe congrès en 2019, des politiques ont été établies pour répondre aux besoins des intellectuels et des créateurs, des questions sur lesquelles des progrès sont réalisés, bien que leur évaluation soit constante.
Alpidio Alonso Grau a reconnu les efforts de l'organisation pour chercher des solutions - en collaboration avec les institutions - aux problèmes de la création artistique et littéraire, et a souligné le rôle de l'Uneac non seulement dans l'univers culturel par son engagement en faveur de l'art de la plus haute qualité, mais aussi par la vocation de service social qui l'accompagne depuis sa création.
Miguel Barnet, président honoraire de l'Uneac, a déclaré qu'il est du devoir de l'organisation de maintenir une lutte constante contre la colonisation culturelle et l'influence des genres et des mouvements sans valeur qui sont perçus actuellement dans les différentes sphères de la société.
Dans son dialogue avec les artistes et les écrivains, Inés María Chapman Waugh a déclaré que les propositions et les préoccupations des intelectuels cubains devaient être prises en compte en raison de leur impact important sur le bien-être et la spiritualité de la nation.
Nous devons être unis pour travailler, pour défendre le pays, pour défendre la révolution cubaine et la révolution socialiste cubaine malgré toutes les difficultés, nous devons trouver un moyen de les résoudre, parce que résoudre les problèmes de la culture, c'est aussi les résoudre pour la société cubaine », a-t-elle déclaré.
L'Uneac tiendra son 10e congrès en novembre prochain, un espace qui se veut une plateforme qui génère des propositions pour faire face à la colonisation culturelle et qui contribue à défendre les aspects les plus authentiques de l'art et de la culture cubains (Source:ACN).
