Panama, 6 mars (RHC-PL)- Des personnalités panaméennes ont dénoncé le fait que le gouvernement de leur pays applique la plus mauvaise politique étrangère latino-américaine et que maintenant il s'immisce dans les affaires intérieures du Venezuela.
Se référant à la rupture des relations dérivée de l'hostilité de l'exécutif de Ricardo Martineli qui est en faveur de la droite fasciste, le candidat présidentiel indépendant Juan Jované a estimé que son pays joue le jeu de celui qui n'ose pas rompre les relations et qui ordonne à son sous-fifre de le faire.
Le secrétaire général de l'Université de Panama, le professeur Miguel Ángel Candanedo, a déclaré que les relations entre les peuples ne sont pas rompues et il a lancé un avertissement sur les répercussions que cette attitude aurait lors d'une incertaine réunion de l'OEA convoquée par Martineli et à laquelle le Venezuela s'oppose.