Arauz et Lasso entament la campagne électorale pour le second tour des présidentielles en Équateur

Editado por Reynaldo Henquen
2021-03-16 09:16:41

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Quito, 16 mars (RHC) Des adversaires au second tour des élections générales en Équateur commenceront aujourd’hui la campagne électorale en quête de voix qui leur permettront d’atteindre la présidence et la vice-présidence de la République jusqu’en 2025.

Les adversaires du scrutin, prévu pour le 11 avril, sont Andrés Arauz, de la coalition progressiste Union pour l’Espoir (UNES), et Guillermo Lasso, de l’alliance de centre-droit CREO-Parti Social Chrétien (PSC).

Des caravanes et des marches seront les activités initiales des deux candidats à la présidence et de leurs compagnons de formule, qui aspirent au poste de vice-président Carlos Rabascall (UNES) et Alfredo Borrero (CREO-PSC).

Bien que les rivaux n’aient cessé de tenir des réunions avec des organisations et des collectifs sociaux et politiques, la poussée finale Serpa de cette journée et jusqu’au 8 avril prochain, trois jours avant les votes.

Parmi les rencontres tenues séparément par les présidents, il y en a une avec l’Association des municipalités, qui regroupe les 221 maires de ce territoire andin, qui réclament à l’exécutif le paiement d’une partie du budget dû.

Selon le fonds approuvé par le Conseil national électoral (CNE), les binômes présidentiels pourront dépenser jusqu’à 2,09 millions de dollars pour leurs activités de campagne, en plus de 562,164 dollars pour la promotion financée par l’État dans les médias et les panneaux publicitaires.

Avec un total de 10,6 millions d’électeurs qui se sont rendus aux urnes le 7 février dernier, lors du premier tour, Arauz a alors atteint le soutien de 3 millions 33 mille 871 électeurs et Lasso a bénéficié d’un million 830 mille 172 citoyens.

Ils ont totalisé 4,8 millions de bulletins, soit moins de la moitié du total des suffrages.

Dans ce scénario, ils disposent de 24 jours pour tenter d’attirer ceux qui ne les ont pas soutenus et, à cet égard, ils auront une tâche difficile auprès d’une partie du secteur indigène, dont les dirigeants appellent à un vote nul, considérant qu’il y a eu fraude contre leur candidat à la présidence Yaku Pérez, qui a participé au parti Pachakutik et a terminé troisième.

À propos de la deuxième série d’élections, le vice-président du CNE, Enrique Pita, a avancé qu’il n’y aurait pas de comptage rapide.

Il a également estimé qu’il n’y aurait pas de modification du jugement du Tribunal du contentieux électoral suite à une contestation des résultats du scrutin, présentée par Pachakutik, qui a maintenant demandé des éclaircissements sur le jugement.

Le CNE prévoit de commencer l’impression des bulletins de vote le 18 ou 19 mars.

 

Source Prensa Latina



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