La Paz, 26 septembre (RHC) La Bolivie a dévoilé toutes les initiatives et le programme commun de l’Amérique latine et des Caraïbes lors de la 76 Assemblée générale des Nations Unies, a souligné aujourd’hui le président du Parlement andin, Adolfo Mendoza.

N’oublions pas les paroles du président bolivien, Luis Arce, au sommet de la Communauté des États d’Amérique latine et des Caraïbes (CELAC), sur la nécessité de repositionner certains thèmes dans le cadre de l’agenda mondial, a initialement demandé le sociologue de formation.

Dans sa première intervention à l’Organisation des Nations Unies (ONU), Arce a appelé à déclarer l’accès aux vaccins anti-Covid-19 un droit humain, en plus de la libération des brevets pour leur production, afin d’assurer leur arrivée dans toutes les nations du monde.

'C’était un message qui a rappelé le pays au concert international', a estimé le chef de l’organe délibérant et de contrôle politique constitué de 25 représentants de la Bolivie, de la Colombie, de l’Équateur, du Pérou et du Chili.

Un autre sujet sur lequel le chef de l’État bolivien a mis l’accent est celui des droits de la Terre nourricière, à savoir la nécessité de disposer de modèles permettant d’améliorer la qualité de vie de la population, a souligné le chercheur.

Partant de la vision cosmologique des peuples autochtones, le chef d’état a dénoncé le capitalisme comme l’une des principales causes de la crise climatique mondiale, car la planète subit encore les graves conséquences du consumérisme et de la déprédation démesurée des ressources naturelles.

Cette façon d’aborder le thème environnemental, ce n’est pas seulement autour de ce que l’on pourrait appeler la défense de l’environnement, c’est quelque chose lié à la défense des droits de la nature', a déclaré Mendoza, cité par l’Agence bolivienne d’information.

Source Prensa Latina