Sympathisant avoué de l’ancienne Première ministre britannique, Margaret Thatcher, à la tête de la guerre qui a fait 649 morts dans les rangs de l’armée argentine en 1983, Javier Milei n’a pas mentionné le Royaume-Uni.
En plus d’omettre de condamner les 191 ans d'occupation britannique et les provocations constantes avec des exercices militaires et des visites d'autorités dans ces îles, le président a soutenu la position des secteurs négationnistes des crimes contre l'humanité commis pendant la dictature qui a ensanglanté l’Argentine de 1976 à 1983.
Source : Prensa Latina