Pourtant, la juge Monica Heredia a décidé que l’ancien vice-président à qui le Mexique avait octroyé l’asile politique ne quittera pas la prison parce que deux jugements définitifs pèsent sur lui.
Au sujet de l’asile, octroyé par le Mexique, le tribunal a signalé que c’était aux autorités diplomatiques de se prononcer.
Au cours de l’audience d’habeas corpus, Jorge Glas a demandé au tribunal qu’on lui rende son droit d’asile.
Le ministère public a nié cette possibilité en raison des sentences et du mandat d’arrêt contre lui.
La veille, il avait dénoncé les mauvais traitements dont il a fait l’objet lors de son arrestation dans l’ambassade du Mexique à Quito par les forces de l’ordre équatoriennes.
"Plus tôt que tard, justice sera faite" a-t-il souligné.
Source : Prensa Latina