Un communiqué du ministère des Affaires étrangères affirme que cela démontre que Washington "est à l'avant-garde du coup d'État" qui vise la nation sud-américaine, en promouvant un agenda violent contre le peuple vénézuélien et ses institutions.
Ils essaient ainsi de générer un faux récit – souligne le communiqué - qui conduit à la violence de rue, exécutée par des groupes criminels et des organisations fascistes, autoproclamés "comanditos", qui tentent de semer la terreur dans la population civile.
Le texte rappelle que la démocratie vénézuélienne est l'une des plus solides au monde et qu'aucune tentative de la miner ne pourra être menée à bien.
Le communiqué souligne que "les États-Unis ont essayé en vain, pendant 25 ans, de renverser le gouvernement bolivarien" et confirme le fait qu'ils n'ont pas pu et ne pourront pas le faire. "Toutes leurs tentatives succomberont à la détermination d'un peuple qui, avec dignité, lutte jour après jour, construisant un chemin vers le progrès, vainquant l'agression et les sanctions criminelles".
"Le peuple vénézuélien s'est exprimé, a exercé son droit et a réitéré sa voie inaliénable de souveraineté, de paix et de construction du socialisme pour garantir le plus grand bonheur possible", ajoute le texte.
Le président Nicolas Maduro a réitéré jeudi sa volonté de dialoguer avec Washington sur la base du respect de la souveraineté. "Nous pouvons reprendre le dialogue, mais sur la base d'un seul point : le respect de l’accord du Qatar", dont il a publié le texte sur ses réseaux sociaux.
Source : Prensa Latina