Le secrétaire général de
« Ceux qui ont appelé et invoqué l'invasion néfaste pour établir le pouvoir oligarchique et qui le détiennent encore aujourd'hui… devront être jugés comme des traîtres à la patrie», a-t-il fait remarquer.
Pour sa part, le secrétaire général de
Il a souligné que le président Mulino avait pratiquement béni l’invasion en la qualifiant de début de la fin d’une dictature, "une conduite indigne d'un Panaméen", a souligné le dirigeant syndical.
Outre les pertes humaines, cette agression a provoqué la destruction d'une grande partie des infrastructures de l'isthme, laissant des milliers de personnes sans abri.
Les troupes nord-américaines ont alors testé un armement sophistiqué pour l'époque et n'ont fait aucun effort pour se limiter à des cibles militaires et éviter de porter atteinte à la vie et aux biens de la population civile. L’invasion étasunienne a laissé plus de 200 morts parmi la population civile panaméenne.
Source : Prensa Latina