Parmi les premières mesures prises figure l’annulation de l’application CBP one qui permettait aux migrants d’entrer légalement aux Etats-Unis, d’y vivre et d’y travailler.
Dans son discours d’investiture, Trump a annoncé d’autres mesures rentrant dans le cadre de sa politique anti-immigration.
"Je vais déclarer l'urgence nationale à notre frontière sud. Toutes les entrées illégales seront immédiatement stoppées et nous commencerons à renvoyer des millions et des millions d'étrangers criminels là d'où ils viennent", a-t-il souligné.
Il a annoncé l’envoi des troupes à la frontière avec le Mexique pour "repousser l'invasion désastreuse" des Etats-Unis.
Le républicain compte également instituer de nouveau la doctrine "Restez au Mexique", mesure phare de son mandat précédent abolie sous son prédécesseur Joe Biden.
Elle avait forcé des milliers de demandeurs d'asile originaires d'Amérique centrale à rester au sud de la frontière des Etats-Unis, le temps que leur demande soit traitée par les tribunaux.
Le 47e président des Etats-Unis compte également reprendre la construction du mur frontalier, selon Anna Kelly, la future porte-parole adjointe de
Il va aussi signer des décrets s'attaquant au droit d'asile et au droit du sol, la disposition légale prévue par le 14e amendement de
Durant sa campagne électorale, Trump est arrivé à dire que les migrants "empoisonnent le sang" des Etats-Unis et affirmé que l'augmentation de l'immigration clandestine a provoqué une vague de criminalité aux Etats-Unis, ce qu'aucune statistique officielle ne montre.
Sources : Plusieurs
