La Havane, 28 sept (RHC) La communauté internationale continue de rejeter le blocus économique, commercial et financier que les États-Unis infligent à Cuba.
De nombreuses voix ont condamné la politique hostile et cruelle des États-Unis contre notre pays lors du débat de haut niveau de l'Assemblée générale des Nations Unies.
A la fin de la session de samedi, le Premier ministre et ministre des Affaires étrangères de Syrie, Walid Muallem, a souligné que les droits souverains de Cuba et du Venezuela doivent être respectés.
Pour sa part, le ministre des Affaires étrangères du Belarus, Vladimir Makei, a appelé à la fin des «guerres commerciales, des sanctions financières et économiques arbitraires comme instrument de pression politique".
Il a déclaré que le Belarus rejette fermement la pratique de toute mesure coercitive unilatérale dans les relations internationales, et a en outre noté qu'un exemple frappant de telles actions sur plusieurs décennies est le blocus de Cuba.
Depuis le début du débat général à l'ONU, le 22 septembre dernier, les dirigeants de nombreux pays ont exigé dans leurs interventions virtuelles devant la plénière de l'AGNU la fin de ce blocus imposé par Washington à la nation caribéenne.
De hauts dignitaires du Costa Rica, du Venezuela, du Suriname, de Saint-Vincent-et-les-Grenadines, de Sainte-Lucie, des Bahamas, de Saint-Christophe-et-Nevis et de Trinité-et-Tobago ont exigé la fin des mesures génocidaires unilatérales de la Maison Blanche.
Des États africains tels que le Kenya, la Namibie, le Burkina Faso, la Guinée équatoriale, Sao Tomé-et-Principe, la Guinée-Bissau, le Tchad et le Lesotho, les petites nations océaniennes de Tuvalu, Nauru et les îles Salomon, ainsi que les nations asiatiques du Timor-Oriental, du Viêt Nam et du Laos ont également élevé la voix contre ce mécanisme.
(Source: Prensa Latina)