La Havane, 11 sept. (RHC) L'une des voies nécessaires et indispensables pour parvenir à la durabilité de notre développement et pour mettre en œuvre la maxime du président Díaz-Canel consistant à résister et à avancer est sans aucun doute le développement local.

Ce n'est pas pour rien que l'on insiste sur une stratégie de développement municipal où, dans la pratique, les destins de la nation peuvent être décidés et aussi apporter des changements dans les approches de la manière dont l'économie peut être abordée au niveau national.

S'il est vrai que l'on progresse, en ayant la science et l'innovation comme pilier et en identifiant également le potentiel économique et social qui peut être "installé" au niveau territorial, la vérité est que ce changement de mentalité chez les décideurs, le secteur de la connaissance et de la production, doit aller à un rythme plus rapide car les conditions actuelles du pays l'imposent.

De là, la promotion de la science et de l'innovation que fait le gouvernement central en tant que l'un de ses piliers et les réunions systématiques du Conseil national de l'innovation pour évaluer les stratégies concrètes et, plus récemment, pour commencer à interagir avec les meilleures expériences au niveau municipal.

Concrètement, lors de la dernière réunion de ce type qui s'est tenue jeudi dernier, une idée a été réitérée : sans la connaissance, il est impossible d'avancer sur le chemin de l'innovation, et le projet de construction du socialisme cubain a besoin de cet outil pour avancer, se renforcer et se développer.

Si l'on rapproche la question du cas des municipalités et des territoires, la tâche est ardue, et de plus en plus nécessaire, dans un scénario où sont apparus de nouveaux acteurs économiques qui doivent s'articuler avec les entreprises locales, les centres de recherche, les universités et le secteur productif lui-même.

Source Radio Rebelde